après mure reflexion je vais tenter de faire un petite histoire de mandra a la manière d'un bouquin.
Pourquoi me direz vous... je n'aurait d'autre réponse que... pour le fun
merci de pas être trop méchant mais donné quand meme vos avis que je fasse de la merde de but en blanc =)
m'enfin bon je vais commencer n'est-ce pas
Prologue :
La pièce était sombre, seul la lumière du dessous de la porte éclairé la pièce. Une grande partie de la pièce était occupé par un lit à baldaquins , du reste un armoire en chêne massif situé a la gauche de la pièce, les moulures de cette dernière était richement décoré montrant la fortune du propriétaire. A quelque centimètre de cette armoire une commode composé des mêmes moulures trôné. Un tapis persan que l’on aurait pu prendre pour une moquette par sa taille occupé toute la chambre. Paradoxalement, les tapisseries étaient des motifs simple et juraient avec le reste. Le plafond quand a lui représentait une chasse a cour , on voyait les chien courir devant des cavalier, le cerf semblait affolé, l’artiste avait réussi a donné vit a cette œuvre. Des rideaux bordeaux d’un tissu d’excellente qualité caché la lumière apportait par la lune du soir. Soudain quelque chose fit bouger les rideaux.
Une personne assez mince en sortis, elle se tenait debout au milieu de la pièce scrutant les coins et recoins. Cette personne devait mesurer dans les 1 mètre 70. Son visage était fin ou peut-être était-ce ces cheveux brun arrivant jusqu’au hanche qui produisait cet effet de finesse. Tout en elle devait produire l’excitation du sexe opposé, elle se déplaçait avec grâce, ses oreilles allongé jusqu'à la pointe était la seul particularité de sa race que l’ont pouvait discernait dans cette pénombre. Elle était habité d’un pantalon noir de piètre qualité, ainsi que d’une chemise noir également. Elle était vêtu pour passer inaperçue…
Un bruit se fit entendre dans le couloir, L’elfe tourna la tête vers la porte, la raie de lumière fut obstrué par deux ombres, la femme se cacha entre l’armoire et la commode, accroupie elle attendit que l’homme fasse son entré, elle entendit une voix venant du couloir, sans doute un serviteur , la voix demanda a l’autre homme qu’un haut dirigeant de la vie demander à le voir. L’assassin tapit dans l’obscurité jura intérieurement, elle allait devoir patienter car le bruit de pas des deux hommes s’éloigna.
Elle resta ainsi plusieurs heures durant, elle réfléchissait a tous les moyens possible pour en finir avec la vie du propriétaire de cette chambre. Jusqu’au moment où elle se demanda comment elle avait fait pour devenir assassin. Elle repensa à ses années d’enfance, qu’elle époque joyeuse, tout était bonheur pour elle, elle ne voyait pas encore l’hypocrisie des adultes, et la mesquinerie dont était atteint le conseil de son village. Elle se revoyait rire avec son frère, elle ne peut s’empêcher de verser une larme de joie ou de tristesse… En a peine une décennie Les joies de l’enfance cédèrent au peine de l’age adulte. Elle n’eut ni concubin ni mari, mais cela lui était bien égale, elle ne pouvait tomber amoureuse d’un homme maintenant qu’elle savait ce dont ils étaient capables.